Relire ce texte me donne envie de vous parler aujourd’hui d’une des nombreuses facettes de la kinésiologie.

J’ai pris cette photo d’un passage d’un livre de Delphine de Vigan chez ma thérapeute il y a presque un an.

Je trouve que le chemin vers plus de liberté avec soi-même semble parfois terriblement ardu. D’une longueur affolante; lent, ingrat, tellement douloureux.

C’est pourtant aussi un chemin emplit d’une grâce bouleversante, de synchronicités troublantes, de prises de conscience salvatrices et de grands moments de joie.

Ce chemin peut mener vers plus de légèreté, de sens, de liberté, de beauté.

Mais là je ne parle que de moi! : il vous mènera là où vous, vous souhaitez aller.

Je me rend compte à quel point, en relisant ce texte, le chapitre des loyautés est important à visiter dans un travail thérapeutique global.

Pour ma part, et sur ce sujet précis des loyautés, la kinésiologie m’a permis d’avancer plus vite sur des tronçons de chemin caillouteux.

J’apprécie vous accompagner, comme on l’a fait pour moi, avec cet outil qui est, j’en suis persuadée, un facilitateur ; il permet de déposer en douceur des valises dans lesquelles vous aviez rangé et oublié les avoir stocké là, entre autres fourbis, la commode en chêne massif de votre arrière grand-père et le vaisselier de mamie ( et je ne parle pas de l’armoire antique que maman à absolument souhaité vous léguer) .

Randonner avec quelques kilos en moins en ne manquant pourtant de rien, c’est quand même nettement plus accessible

En PNL on parle du “musée des croyances”. Il reste là, ne vous inquiétez pas. Il ne faudrait quand même pas jeter l’intégralité du patrimoine!

Heureusement, on peut créer un endroit ou déposer tout ces objets et les admirer quand on en a envie et ou besoin, plutôt que de les porter constamment sur les épaules.

Cheminer, c’est chouette.